Tu sais déjà que cette voiture est une Formule 1 conçu en 2024 par Alpine Renault avec un moteur v6 hybride turbo 15k tours/min, fabriqué par eux même. Son nom officiel, A524 reprends l’emblème d’alpine avec le A, y ajoute un 500 qui représente la gamme formule 1 du constructeur (100 pour les sportives de route, 200 en électrique, 300 en SUV, 400 en endurance) et fini par un incrément qui représente l’année de production.
Elle a beaucoup de noir parce que c'était la première année d'une régulation de poids qui à poussé toutes les équipes à réduire la quantité de peinture et laisser le carbon noir apparent. Elle a quand même eu le droit à sa livery rose pour son sponsor BWT pour la moitié des courses et à deux livery spéciales Deadpool et Indiana Jones.
Elle a principalement été conduite par Pierre Gasly et Esteban Ocon, deux pilotes français vainqueur en F1, ce qui fait d'alpine en 2024 une équipe complètement française, ce qui arrive pratiquement jamais et pour aucun autre pays. Ça montre la supériorité française en ingénierie automobile. Qui est d'ailleurs en train de se perdre à cause notamment du retrait de Renault en tant que moriste en 2026 (qui achètera le moteur Mercedes), après 12 championnats remportés avec 6 pilotes distincts, mais aussi de l'overdéveloppement des moteurs électriques.
Jack Doohan, pilote Australien un 2003, a fait ses preuves sur cette voiture à la dernière course de la saison après qu'Ocon est signé dans l'écurie américaine Haas. Il est donc en 2025, un des 6 rookies de l'année et risque d'être remplacé prématurément par l'argentin Franco Colapinto.
Finalement elle a apporté les pires résultats à Alpine Renault depuis 2016, leur reprise en F1 en tant que constructeur. Le rebranding de Renault à Alpine cache les exploits de deux championnats avec Fernando Alonso en 2005, Alain Prost champion en 1993 chez Williams Renault ou encore de son emblématique couleur jaune reconnaissable à travers le monde.
Une voiture descente, une écurie patriotique et des résultats perfectibles et plein de promesses, c’est l’histoire de l’A524.